Il a plu toute la nuit et nos compagnons ont très faim, il faut couper leur corde tant ils ont tiré dessus .
Le moral est en berne;nous repartons comme presque tous les matins vers 8 h 30, mais n'avons plus d'idées quant à notre point de chute.Aujourd'hui, on navigue à vue.Le chemin est très accidenté et boueux.Nous mettrons 5 h pour rallier Urtega : 12 km.
Il y a toujours autant de pèlerins sur le chemin et notamment des groupes d'allemands qui nous gâchent la journée par leur sans gène (voire leur impolitesse ), mais c'est surtout l'effet groupe qui veut ça, et pas forcement le fait qu'ils soient allemands ( encore que...)
Nous passons près des sculptures métalliques au col del pardon ; Mandrin croyant avoir affaire à un de ses congénères s'approche de l'âne métallique et le lèche! Tous les pèlerins présents ne manqueront pas de faire une photo .
Arrivés à Urtega, nous nous installons sur la terrasse d'un bar pour déjeuner, je débâte les ânes, pour les soulager .On a dû les laisser manger sur le bord du chemin et ils ne se sont pas fait prier (les champs de blé sont encore très verts fin mai ).Après déjeuner et alors qu'on réfléchissait à la suite du programme, un couple de canadiens nous dit qu'on peut coucher ici.Jeanne a mal au pied, Kânon n'a plus de sabot, le moral est atteint: nous décidons d'arrêter là.Nous louons une chambre et téléphonons à nos amis pour qu'ils viennent nous chercher.
Le moral est en berne;nous repartons comme presque tous les matins vers 8 h 30, mais n'avons plus d'idées quant à notre point de chute.Aujourd'hui, on navigue à vue.Le chemin est très accidenté et boueux.Nous mettrons 5 h pour rallier Urtega : 12 km.
Il y a toujours autant de pèlerins sur le chemin et notamment des groupes d'allemands qui nous gâchent la journée par leur sans gène (voire leur impolitesse ), mais c'est surtout l'effet groupe qui veut ça, et pas forcement le fait qu'ils soient allemands ( encore que...)
Nous passons près des sculptures métalliques au col del pardon ; Mandrin croyant avoir affaire à un de ses congénères s'approche de l'âne métallique et le lèche! Tous les pèlerins présents ne manqueront pas de faire une photo .
Arrivés à Urtega, nous nous installons sur la terrasse d'un bar pour déjeuner, je débâte les ânes, pour les soulager .On a dû les laisser manger sur le bord du chemin et ils ne se sont pas fait prier (les champs de blé sont encore très verts fin mai ).Après déjeuner et alors qu'on réfléchissait à la suite du programme, un couple de canadiens nous dit qu'on peut coucher ici.Jeanne a mal au pied, Kânon n'a plus de sabot, le moral est atteint: nous décidons d'arrêter là.Nous louons une chambre et téléphonons à nos amis pour qu'ils viennent nous chercher.
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